Ensemble, construisons la vie de demain

Le 15 mai, nous étions présents à l’Assemblée générale de la CVCI et du Carrefour vaudois, un événement phare de la vie économique régionale. 
L’occasion idéale de lancer notre nouvelle campagne de communication «Choisir aujourd’hui le bon deuxième pilier pour construire la vie de demain», car, plus que jamais, les défis qui nous attendent appellent des choix éclairés dès aujourd’hui. Également en matière de prévoyance.
 

Au-delà de la guerre tarifaire

Le Jour de la libération est arrivé. Et, avec lui, une tempête commerciale, économique, politique et financière. Washington revoit son rôle de garant de la sécurité mondiale, sécurise ses sources d’approvisionnement et exige des compensations économiques et financières. Les marchés ont fortement réagi aux différentes annonces de l’administration américaine autour des droits de douane depuis le début de l’année. 

Le 2 avril, Donald Trump imposait des droits de douane dits réciproques – comprenant donc la notion de négociation – au monde entier, avant d’accorder sept jours plus tard à ses partenaires – Chine exceptée – un délai de 90 jours pour négocier. Longtemps désignés comme le principal contre-pouvoir à la Maison Blanche, les marchés ont joué leur rôle. Le recul des indices, la chute du dollar et surtout le bond des taux longs ont fait pression alors que les États-Unis doivent renouveler les échéances de la moitié de leur dette dans les trois ans. Depuis des signes de désescalade ont partiellement rassuré les investisseurs et les investisseuses.

En Suisse, le scénario d’un retour des taux négatifs refait surface, alors que le franc s’apprécie. La guerre tarifaire complique la tâche de la Banque nationale suisse. La BNS ne dispose désormais que d’une faible marge de manœuvre.

Le tournant protectionniste s’ajoute au ralentissement attendu de l’activité dans le monde. Les barrières tarifaires rendent, en outre, la maîtrise de l’inflation plus incertaine. Ce manque de visibilité sur la croissance et l’évolution des prix implique que ni un scénario de sortie vers le haut ni un scénario de sortie vers le bas – soit une augmentation du risque de récession – ne peut être écarté. Une nouvelle réalité qui doit se refléter dans la gestion des portefeuilles. 

Après une belle année 2024, les performances des placements d’AVENA affichent une progression positive de 1,3% à mi-mai, reflétant la reprise globale des marchés financiers après les fortes baisses d’avril. 

➯ Vous retrouvez toutes les informations sur la santé financière de votre caisse de pensions dans le rapport annuel d’AVENA publié en juin.

«La responsabilité entre pleinement dans notre vision à long terme»

>Dominique Blanchard, président de la Commission de placement

AVENA a récemment accepté d'investir une partie de ses fonds dans des thématiques en lien avec la durabilité. Pourquoi ce changement dans la stratégie de placement?
Je ne parlerais pas de changement, mais d’évolution dans la stratégie de gestion de la fondation. Depuis quelques années, nous avançons pas à pas dans ce que nous ne considérons pas comme une mode, mais une tendance à long terme. Je citerais ainsi, notre décision en 2022 de demander une analyse de notre portefeuille sous l’angle ESG, soit sur notre manière d’aborder les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance utilisés pour l’analyse extrafinancière appliquée dans le cadre de l’investissement socialement responsable. Nous avons obtenu la note A-. La décision récente nous permet de franchir une étape supplémentaire. Nous adoptons ainsi, pour une partie de notre portefeuille, une gestion plus active. 


Comment a été défini le montant alloué?
Cette décision ne concerne qu’une partie des avoirs sous gestion, soit 3% à 4%. Notre but est de participer activement à la transition vers une économie plus responsable et plus pérenne, tout en respectant nos obligations de gestionnaire de caisses de pensions, qui consistent à gérer sur le long terme les avoirs vieillesse de nos assurés et de nos assurées.


Quelle approche a été choisie pour ces placements?
Avec notre stratégie ESG développée en collaboration avec notre principal gestionnaire d’actifs, la BCV, nous avons priorisé jusqu’à présent certaines approches comme l’exclusion, qui vise à éviter d’investir dans des sociétés ou des thèmes non compatibles avec certaines normes ou valeurs, comme le charbon, la pornographie, ou à diminuer l’exposition du portefeuille aux énergies fossiles (impact négatif). En optant pour ces placements thématiques, nous investissons dans des sociétés qui proposent des solutions visant à contribuer à l’atteinte des objectifs de développement durable (ODD) de l’Agenda 2030 des Nations Unies (impact positif). Ce peut être des acteurs dans des domaines tels que les énergies renouvelables, l’efficience énergétique, l’éducation, la réduction de la pauvreté.


Est-ce que cette décision a un impact sur la stratégie globale du portefeuille?
Notre stratégie de gestion du portefeuille est guidée par une vision à long terme, par une quête de stabilité qui nous évite de céder à des phénomènes passagers ou de mode. En attribuant une partie de nos avoirs à cette poche thématique, nous ne modifions pas notre stratégie, nous la poursuivons. 


Qu’est-ce que cela implique pour les assurés et les assurées?
Notre décision vise à diversifier nos investissements afin de gérer nos risques. Une telle diversification tend également à accroître la résilience d’un portefeuille dans un environnement complexe. Nous continuons ainsi d’analyser l’environnement dans lequel nous évoluons. Demain comme hier, toute décision résulte d’une étude complète des possibilités d’allocation de nos actifs dans le but d’assurer les rendements nécessaires à la bonne gestion de notre fondation, à la qualité de la retraite de nos assurées et de nos assurés.
 

Comprendre son certificat de prévoyance

Comprendre son certificat de prévoyance

Un certificat de prévoyance, quésaco?

Le certificat de prévoyance est un aperçu de vos prestations de prévoyance personnelles, il mentionne: 

  • vos renseignements personnels
  • vos données salariales
  • vos cotisations ainsi que celles de votre employeur
  • les prestations assurées
  • votre épargne
  • vos prestations à la retraite
  • ainsi que des informations générales (retrait possible pour l’acquisition d’un logement, possibilité de rachats, etc..).
     

Où trouvez son certificat? 

Directement dans votre espace web-assurés

Vous pouvez y consulter également vos données personnelles, faire des simulations (rachats, retraite, etc…) et communiquer directement avec votre gestionnaire.

Si vous souhaitez d’avantage d’informations, n’hésitez pas à nous contacter au moyen du formulaire ci-dessous.

 

En savoir plus

Notice d'information:
Télécharger la notice au format pdf

 

Article: 
Comment décoder son certificat de prévoyance | PME

 

Vidéos :
Comment lire son certificat de prévoyance? Vidéo du 16 mars 2022
Comment lire son certificat de prévoyance? Vidéo du 19 avril 2023

 

Lien sur la FAQ: 
FAQ | Avena Fondation BCV 2e pilier


 

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Passage de témoin à la gestion d’AVENA

> Lire l'interview de Renato Carnello

 

Découvrez l’interview de Stéphanie Circelli, nouvelle responsable de la gestion d’AVENA  

«Notre travail va profondément changer»

 

La nouvelle responsable de la gestion des portefeuilles clientèle s’est tôt passionnée pour la prévoyance professionnelle. À 28 ans, elle apprécie particulièrement la diversité de son activité au quotidien.
La prévoyance professionnelle, c’est son monde. Un univers qu’elle découvre lors d’un stage de maturante, après ses études commerciales à Sion. «J’ai tout de suite su que je voulais chercher un emploi dans ce domaine». Depuis 2017, Stéphanie Circelli approfondit son exploration des arcanes du deuxième pilier à la BCV. Plus précisément au sein d’AVENA - Fondation BCV 2e pilier. Gestionnaire, elle obtient son brevet fédéral en 2022. Puis, en 2023, le droit de former des apprentis. Et la voilà à la tête de l’équipe des six gestionnaires de la fondation depuis le 1er janvier 2024.


La prévoyance? Un domaine si varié
Pourquoi la prévoyance? La réponse fuse. «C’est un domaine si diversifié, si varié.» Et de se lancer dans la description des tâches qui jalonnent une journée de gestionnaire. «Vous passez d’une simulation de retraite anticipée au traitement d’une attestation de divorce, du versement de fonds pour l’acquisition d’un logement à la mise à la retraite d’un assuré. Nous traitons également les demandes des employeurs. Qu’il s’agisse des décomptes de fin d’année, du contrôle des versements mensuels des cotisations ou des nombreuses questions que peuvent avoir les ressources humaines du millier d’entreprises clientes de la fondation.» Elle résume: «en fait, chaque demande d’assuré est différente, chaque situation exige une analyse différente, chaque entreprise a un contrat de prévoyance différent et donc des besoins différents.»
Outre la gestion d’un portefeuille clientèle, elle a aussi contribué à la gestion de projets. Elle cite par exemple: l’évolution de la facturation ou des modalités de bouclement, les solutions développées pour les microentreprises, sans oublier la numérisation des processus de contact avec la clientèle. «Un dossier qui va se poursuivre avec l’aide de mes collègues.» L’ensemble de ces tâches multiples lui a permis de «découvrir des situations, des domaines, des éléments auxquels je ne me serais jamais intéressée. Que ce soit sur le plan légal, sociétal, social ou financier.»


Enthousiasme communicatif
Cette diversité, ce savoir accumulé à vitesse grand V, elle tient également à le partager avec son entourage. Son enthousiasme est d’ailleurs communicatif. Elle endosse volontiers les habits d’ambassadrice de la prévoyance professionnelle. «Il me tient à cœur de sensibiliser les gens à l’importance de leur 2e pilier, à les convaincre de s’en préoccuper même lorsque la retraite paraît lointaine. Je me suis rendu compte, par exemple, que des connaissances changeaient d’emploi sans se préoccuper de transférer leurs avoirs LPP».
À 28 ans, elle est reconnaissante de l’opportunité qui lui a été donnée de prendre la responsabilité de la gestion «à mon âge, avec mon bagage!». Depuis plusieurs mois, elle apprivoise les nouvelles tâches qui animent – et animeront – ses journées. Elle évoque les activités administratives ou liées à la gestion de son groupe. Elle garde néanmoins un portefeuille clientèle. «C’est important de rester au contact du travail au quotidien, de se maintenir à jour, pour mieux accompagner son évolution.»


Toujours davantage de conseils
Qui dit évolution, dit numérisation. Ce n’est pourtant pas le seul chantier en cours. «Notre travail va profondément et rapidement changer», prévoit-elle. «De gestionnaire, notre rôle va s’orienter davantage vers celui de conseiller ou de conseillère». L’automatisation de certaines tâches et l’évolution réglementaire «exigent de fournir beaucoup d’explications, d’informations à la clientèle tant du côté des assurés et des assurées que du côté directorial.»
Quelles sont, déjà aujourd’hui, les questions qui reviennent le plus souvent? Elle fait référence au passage par étape de l’âge de la retraite des femmes à 65 ans ou aux effets du temps partiel. Au-delà des conséquences sur le 2e pilier de l’entrée en vigueur d’AVS 21, la question la plus récurrente porte sur le fait de prendre ses avoirs de 2e pilier sous forme de rente ou en capital. Or, «si la demande est identique, la réponse sera différente pour chaque personne. La décision ne nous revient pas, mais nous devons fournir les éléments qui permettront à la personne de trancher.» Ce n’est qu’un exemple parmi un nombre d’interrogations allant croissant au gré des nombreux changements légaux en cours, voire à venir.
La complexité du 2e pilier donne de la saveur à son travail. Un quotidien diversifié et agrémenté par des loisirs dont elle profite dès que l’occasion se présente. Elle cite d’emblée les voyages, mais aussi les balades, sans oublier les heures de sport. «J’apprécie particulièrement les cours collectifs. C’est mon côté très sociable».

 

 

 

 

Découvrez l’interview de Renato Carnello, ancien responsable de la gestion d’AVENA 

«Trouver des solutions pour la clientèle, c’est le cœur de notre métier»

 

Il est entré dans la prévoyance professionnelle avant même que la loi (LPP) n’entre en vigueur. Un monde qui n’a cessé d’évoluer et qui lui a permis de s’enrichir personnellement et professionnellement. Depuis plus de 38 ans au service d’AVENA et de sa clientèle, il a notamment œuvré en qualité de responsable de la gestion des portefeuilles clientèle.
Il est entré par hasard dans l’univers de la prévoyance professionnelle. Renato Carnello cherchait une place d’apprenti employé de commerce. La porte de l’assureur La Suisse, société d’assurances sur la vie, s’est alors ouverte et il a pris place à l’étage des assurances collectives de personnes. On était dans les années 1980. L’encre de la loi sur la prévoyance professionnelle (LPP) n’était pas encore sèche. «J’ai eu le plaisir de vivre dès 1985 la mise en œuvre de la LPP et l’organisation qui en a découlé», raconte le spécialiste de la gestion de portefeuille clientèle. La suite de l’évolution du deuxième pilier du système de retraite suisse, il la vit à la BCV et plus précisément au sein du service en charge de la gestion de la Fondation commune BCV 2e pilier, devenue AVENA, qu’il rejoint en 1987.


Un monde mouvant
Une vie dans la prévoyance professionnelle, sans jamais s’en lasser. Renato Carnello le souligne encore aujourd’hui, alors qu’il entrevoit l’entrée dans ce monde de la retraite dont il maîtrise les arcanes financiers, techniques, légaux et administratifs. En fait, le changement est venu à lui, il n’a pas eu besoin d’aller le chercher ailleurs.


Des évolutions légales…
«J’ai eu la chance de rencontrer certaines personnes qui m’ont fait apprécier le métier, qui ont su me transmettre leur savoir-faire et m’accorder leur confiance. J’ai aussi eu la chance de suivre toute l’évolution de la loi, de ses révisions, de ses adaptations et de ses ajustements réglementaires.» Un exemple? Difficile d’en citer un. Il finit par choisir. «La première révision de la LPP qui a introduit des prescriptions sur la transparence en matière de gestion des institutions, l’information aux assurés et la gestion paritaire.» Cette révision a permis à de nombreux salariés et de nombreuses salariées de s’intéresser pour la première fois aux bases de leur prévoyance professionnelle. Elle a en outre renforcé la coopération entre partenaires sociaux des entreprises. Les conseils des fondations collectives, telles qu’AVENA, doivent, en effet, depuis lors être composés paritairement de personnes représentant le personnel et de personnes représentant l’employeur des entreprises affiliées et non plus de représentants de la fondatrice.


…technologiques…
Et il n’y a pas que les aspects légaux et réglementaires. Son monde professionnel a également fortement évolué sur le plan technologique. Il sourit à l’évocation du temps où les bureaux étaient couverts de papiers au milieu desquels trônait une machine à écrire, avant de souligner les avantages de la numérisation pour l’accès aux informations tant pour les personnes assurées que pour les entreprises affiliées. Il constate aussi la diversification progressive des métiers dans les bureaux de la prévoyance professionnelle. Plusieurs compétences, qu’elles soient juridiques, actuarielles ou informatiques, étaient déléguées à des consultants externes à la Banque, à la Fondation, se souvient-il. Aujourd’hui, elles font partie intégrante du département.


… de taille…
Autre évolution: celle, bien sûr, de la Fondation. Des chiffres et des anecdotes pour illustrer cette croissance qu’il a vécue de l’intérieur? Là aussi, le choix s’avère difficile. Il y a bien l’anecdote sur la seule ligne pour quatre téléphones dans les premiers bureaux qu’il a occupés. Mais, l’exemple le plus parlant reste le nombre d’entreprises clientes, qui est passé d’une cinquantaine à ses débuts à un millier aujourd’hui. «La BCV a su comprendre très tôt l’importance de ce domaine, ce qui lui a permis de devenir un acteur majeur de la prévoyance professionnelle».


…et surtout humaines
L’évolution qui lui tient, cependant, le plus à cœur réside dans l’intérêt croissant des assurés et des assurées, ainsi que des responsables d’entreprises, pour le deuxième pilier. «Le fait que toujours plus de personnes nous appellent pour exprimer leurs besoins, pour nous demander des conseils et des services personnalisés, me réjouit», insiste-t-il. C’est de leur avenir qu’il est question, de la qualité de leur retraite. «L’intérêt et les attentes ont changé. Aujourd’hui, leur attention se porte sur une meilleure accessibilité à l’information et aux services ainsi que sur la durabilité des placements et la responsabilité sociale des entreprises.» Certains cas s’avèrent ardus à résoudre, même pour un grand connaisseur comme lui de la LPP et de ses ordonnances. «Réfléchir, analyser, trouver des solutions pour répondre aux besoins de la clientèle, c’est le cœur de notre métier. Et, c’est ce qui me plaît». Il apprécie cette pratique au quotidien dans un monde obligé par ailleurs de se spécialiser et à se former en continu.


Un monde à découvrir
«C’est ainsi que, durant ces presque quarante années, j’ai toujours pu développer mes compétences, aiguiser mon sens de l’analyse, apprendre et donc m’enrichir professionnellement.» C’est le message qu’il lance à celles et ceux qui hésitent à entrer dans un univers niché au cœur d’enjeux sociaux et économiques si importants. Car le monde de la prévoyance professionnelle ne peut pas s’arrêter. Il en est profondément convaincu. Même si les évolutions législatives sont toujours plus difficiles à faire accepter, à faire comprendre. Cet univers est le reflet de la société, «il est appelé à évoluer en permanence.»
 

Les Matinales de la prévoyance

 

 

La rédaction de PME Magazine et AVENA organisent conjointement 3 rendez-vous gratuits consacrés à la prévoyance professionnelle du côté de l’employeur. 
L’occasion de découvrir les dernières actualités, des conseils d’experts et des témoignages d’entrepreneurs.

En savoir plus sur les 3 matinales 
 

Matinale Neuchâtel
Avec Roger Matthey, DRH de PX Group
Jeudi 6 mars 2025, 07h30,
à l'hôtel Beaulac, Neuchâtel

> s'inscrire

Matinale Genève
Avec Daniel Mori, Président du groupe PP Holding
Mardi 11 mars 2025, 07h30,
au Cercle des Bains, Genève

> s'inscrire
 

Matinale Fribourg
Avec Julie et Michael Monney, co-CEO Laurastar
Jeudi 13 mars 2025, 07h30,
à la Safe Gallery, BCF, Fribourg

> s'inscrire

Rémunération des avoirs 2024 au 16.12.2024

Pour l’année 2024, le Conseil de Fondation a décidé de rémunérer l’entier des capitaux d’épargne à hauteur de 3,25%, au maximum des possibilités légales, portant le taux de couverture estimé à 109,4%.

Les assurées et assurés d’AVENA bénéficient d’une rémunération nettement supérieure au taux minimal légal (1,25%), permettant ainsi d’améliorer leurs avoirs de prévoyance.

L’intérêt annuel versé par la Fondation n’est que la partie émergée de l’iceberg. Il est le fruit d’un ensemble de mesures permettant à AVENA d’assurer sa continuité.

Le Conseil de Fondation est unanimement convaincu que cette stratégie permet d’obtenir de meilleurs résultats à long terme et assurant la pérennité de la Fondation.